De nombreux enjeux pour l’avenir
La première question est d’ordre financier.
La première question est d’ordre financier.
Le plus gros contributeur est l’École qui, via des subventions accordées par la direction militaire, assure le financement de l’équipe de 100 vigiles pendant la soirée. Jusqu’à présent, ces subventions ajoutées à celles de la Kès et de X‑Forum ont permis au Point Gamma de maintenir chaque année une prestation d’une qualité inégalée pour une soirée étudiante.
Devant les restrictions du budget militaire et des subventions des élèves (via la Kès et X‑Forum), des questions se posent pour maintenir la cohérence financière du Point Gamma.
La seconde question est géographique.
Le Point Gamma doit-il se cantonner à un espace ouvert et renoncer à utiliser les bâtiments du campus, qui imposent tant de contraintes de sécurité ?
Cela permettrait non seulement d’éviter d’éventuelles dégradations des locaux, mais aussi d’accueillir un plus grand nombre d’étudiants (ce qui pourrait aller dans le sens d’une meilleure cohérence financière).
Cela poserait évidemment de nouveaux problèmes et dénaturerait beaucoup, selon nous, la soirée de l’École polytechnique, qui doit se dérouler dans ses locaux.
Se pose également, depuis quelques années, la question d’organiser le Point Gamma sur un site totalement extérieur à l’École (à Paris par exemple).
Or, le déroulement sur le campus même de l’École est, selon nous, un de des points forts du gala et un atout majeur pour que les promotions puissent s’y investir fortement.
Nous avons besoin du soutien de la communauté polytechnicienne pour que cet événement majeur demeure à l’École, garde son empreinte polytechnicienne et ne devienne pas une simple soirée étudiante.
La cour Vaneau habillée de la scène extérieure.