Concert de mars à l’église de la Madeleine, avec le choeur Vocalys de Bourg-la-Reine.

Les orchestres du plateau de Saclay

Dossier : Nouvelles du PlatâlMagazine N°739 Novembre 2018


Concert de mars à l’église de la Madeleine,
avec le choeur Voca­lys de Bourg-la-Reine.

Fédé­rer les écoles du pla­teau de Saclay autour de la musique : tel est le pro­jet des Orchestres du Pla­teau de Saclay (OPS). Les OPS sont consti­tués de deux orchestres, un orchestre sym­pho­nique et un orchestre d’harmonie, qui ras­semblent à eux deux plus d’une cen­taine de musi­ciens. Ils regroupent cette année près d’une qua­ran­taine d’étudiants de l’École poly­tech­nique, dont des X2016 et X2017, mais aus­si des poly­tech­ni­ciens de pro­mo­tions anté­rieures (y com­pris le chef d’orchestre pro­fes­sion­nel de l’orchestre sym­pho­nique, Emma­nuel Calef, X 98), des bache­lors, des mas­ters et gra­duate degrees, ain­si que des doc­to­rants de l’X. Les autres musi­ciens pro­viennent des autres écoles du pla­teau de Saclay (Ens­ta Paris­Tech, Ensae Paris­Tech, Agro­Pa­ris­Tech, Cen­tra­le­Su­pé­lec, ENS Paris-Saclay, HEC…). 

Les deux orchestres répètent toutes les semaines à l’École poly­tech­nique pour mon­ter des pro­grammes éclec­tiques et exi­geants, à rai­son de trois pro­grammes par an. Lors des ses­sions pas­sées, l’orchestre sym­pho­nique a notam­ment inter­pré­té la 5e sym­pho­nie de Bee­tho­ven, la Sym­pho­nie du Nou­veau Monde de Dvořák ou encore les Tableaux d’une expo­si­tion de Mous­sorg­ski. En paral­lèle à ces concerts régu­liers, les musi­ciens des OPS par­ti­cipent à divers pro­jets comme le fes­ti­val des Arts en scène à l’Ensta Paris­Tech et des concerts lors d’échanges avec d’autres orchestres étu­diants comme ceux de Nan­cy, Nantes, Tou­louse, et récem­ment Berlin. 

L’orchestre sym­pho­nique a le plai­sir de vous convier à son pro­chain concert, qui aura lieu le jeu­di 13 décembre 2018 dans l’amphithéâtre Poin­ca­ré, à l’École poly­tech­nique. Il inter­pré­te­ra la 5e sym­pho­nie de Sibe­lius, Le cygne de Tuo­ne­la de Sibe­lius ain­si qu’Holou­bek (« La colombe sau­vage ») de Dvořák. 

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