Dstny France : le partenaire de confiance des PME et ETI françaises

Posi­tion­née sur le seg­ment des PME et des ETI, Dst­ny France accom­pagne ces entre­prises et répond à l’ensemble de leurs besoins et de leurs pro­blé­ma­tiques en matière de ges­tion de leur patri­moine numé­rique. Oli­vier Mar­cillaud, direc­teur géné­ral de Dst­ny France, nous pré­sente le cœur de métier de cet acteur fran­çais en pleine crois­sance et revient sur les grandes lignes de son offre et ses prin­ci­paux leviers de différenciation.

Quels sont les métiers de Dstny France ?

Dst­ny France, à tra­vers son acti­vi­té Entre­prises, est un inté­gra­teur pre­mium qui répond aux besoins des PME et des ETI. Nous nous défi­nis­sons comme le par­te­naire de confiance de ces entre­prises sur leurs sujets numé­riques. Dans ce cadre, nous met­tons en place tout le socle infor­ma­tique et télé­com­mu­ni­ca­tion afin d’assurer le bon fonc­tion­ne­ment de leur SI et de leurs outils digi­taux. Pour ce faire, nous cou­vrons essen­tiel­le­ment 3 dimen­sions : le trans­port (connec­ti­vi­té), l’hébergement (cloud) et la sécu­ri­sa­tion des données.

“Nous nous définissons comme le partenaire de confiance de ces entreprises sur leurs sujets numériques.”

En outre, le groupe Dst­ny dis­pose aus­si d’une tech­no­lo­gie pro­prié­taire en matière de com­mu­ni­ca­tion uni­fiée (Uni­ted Com­mu­ni­ca­tion as a Ser­vice). En paral­lèle, nous tra­vaillons éga­le­ment sur le déve­lop­pe­ment d’une solu­tion dans le domaine l’applicatif tou­jours à des­ti­na­tion des PME et des ETI.

Nous avons un très fort ancrage ter­ri­to­rial dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et accom­pa­gnons des entre­prises qui opèrent dans de nom­breux sec­teurs et nous pro­po­sons, par ailleurs, des pres­ta­tions qui ont le niveau d’accréditation HDS (Héber­ge­ment des Don­nées de San­té). Nous avons près de 350 clients et employons une cen­taine de collaborateurs.

Quels sont les principaux besoins et problématiques des entreprises qui vous sollicitent aujourd’hui ?

Les PME et les ETI sont prin­ci­pa­le­ment confron­tées à trois types de pro­blé­ma­tiques. Tout d’abord, une pro­blé­ma­tique tech­nique due à la com­plexi­fi­ca­tion des SI, qui repré­sente, par ailleurs, un sujet cri­tique et stra­té­gique pour les entre­prises. En paral­lèle, les entre­prises ont besoin de garan­tir une dis­po­ni­bi­li­té opti­male pour ne pas impac­ter leurs acti­vi­tés. Au cours des der­nières décen­nies, les entre­prises étaient plu­tôt dans une logique de SI « on pre­mise ». Aujourd’hui, elles uti­lisent de plus en plus de ser­vices connec­tés et acces­sibles sur des clouds publics et échangent des infor­ma­tions sen­sibles. Dans ce cadre, elles ont besoin d’expertise tech­nique et de conseil pour être en mesure de gérer cette com­plexi­té et les enjeux annexes, notam­ment en termes de sécurité.

« En faisant appel à des acteurs comme Dstny, les PME et les ETI ont une meilleure visibilité sur les coûts et peuvent les ajuster et les optimiser. »

Leur seconde pro­blé­ma­tique est d’ordre éco­no­mique. Dans la conjonc­ture éco­no­mique actuelle, les PME et les ETI s’inscrivent dans une logique de maî­trise des coûts. En fai­sant appel à des acteurs comme Dst­ny, elles ont une meilleure visi­bi­li­té sur les coûts et peuvent les ajus­ter et les opti­mi­ser. Elles cherchent aus­si de plus en plus à trans­for­mer leurs dépenses CAPEX en OPEX. Par exemple, il y a encore 10 à 15 ans, elles allaient ache­ter leurs propres ser­veurs et déve­lop­per en interne leurs propres logi­ciels, alors qu’aujourd’hui, elles vont pri­vi­lé­gier des coûts variables en optant pour des pres­ta­tions de ser­vices. L’idée est d’avoir moins de coûts liés à des res­sources humaines propres et plus de coûts exter­na­li­sés, qu’elles vont pou­voir aug­men­ter ou revoir à la baisse selon leurs besoins. 

Enfin, troi­siè­me­ment, les PME et les ETI ont de plus en plus de dif­fi­cul­tés à recru­ter des ingé­nieurs sur un mar­ché en ten­sion sur les métiers de l’IT et des télé­com­mu­ni­ca­tions. Pour pal­lier ce manque, elles s’appuient sur des socié­tés comme Dst­ny qui vont mettre à leur dis­po­si­tion des exper­tises, du conseil et des pres­ta­tions de ser­vices en matière de sécu­ri­té, de desi­gn, d’architecture…

Dans ce cadre, comment les accompagnez-vous ? Quelles sont vos principales offres ?

Nous allons cou­vrir toute la chaîne de valeur et les accom­pa­gner sur cha­cune des pro­blé­ma­tiques pré­cé­dem­ment évo­quées. Typi­que­ment, nous inter­ve­nons sur les phases amont dites de « build » avec la mise en place d’un pro­jet client et la mise en dis­po­si­tion d’un chef de pro­jet dédié qui va suivre l’état d’avancement de bout en bout. Sur la phase de « run » ou d’exploitation, nous nom­mons un res­pon­sable opé­ra­tion­nel de compte qui assure un sui­vi dans la durée et des réunions men­suelles avec le client pour s’assurer du bon niveau de per­for­mance four­ni et du bon fonc­tion­ne­ment, solu­tion­ner les éven­tuelles pro­blé­ma­tiques, anti­ci­per les évo­lu­tions et les besoins futurs…

Néan­moins, notre prin­ci­pal levier de dif­fé­ren­cia­tion réside dans notre fine com­pré­hen­sion en amont du besoin des clients et des pros­pects, ce qui nous per­met de revoir le cahier des charges, de pro­po­ser des solu­tions sur mesure… Dans ce cadre, nous capi­ta­li­sons non seule­ment sur nos exper­tises tech­niques et métiers, mais aus­si sur un impor­tant retour d’expérience qui nous per­met de faire preuve de créa­ti­vi­té et d’innovation. Cette approche est très dif­fé­ren­ciante sur le mar­ché et per­met de géné­rer des modèles éco­no­miques à forte valeur ajou­tée pour nos clients.

Qu’en est-il de la place de la technologie dans votre modèle ?

Par défi­ni­tion, notre acti­vi­té est tech­no­lo­gique. En effet, nous ven­dons des ser­vices et des pro­duits 100 % tech­no­lo­giques. Nous sommes essen­tiel­le­ment posi­tion­nés sur des sujets tech­no­lo­giques matures et robustes comme la fibre, la connec­ti­vi­té intel­li­gente, l’hébergement, le cloud pri­vé, l’hébergement à dis­tance, la cyber­sé­cu­ri­té… Nous nous dif­fé­ren­cions au niveau des archi­tec­tures que nous allons mettre en place pour répondre aux besoins des entreprises.

En paral­lèle, nous inno­vons en matière de com­mu­ni­ca­tion uni­fiée au tra­vers de notre pla­te­forme pro­prié­taire. Au sein du groupe, nous avons près de 200 per­sonnes dédiées à cette acti­vi­té. Dans ce cadre, nous explo­rons de nou­velles pistes tech­no­lo­giques en lien avec l’IA et l’IA géné­ra­tive en matière de ges­tion de la voix, de la com­mu­ni­ca­tion… Socié­té d’ingénieurs, Dst­ny cherche à inno­ver pour pro­po­ser aux PME et ETI tou­jours plus de fonc­tion­na­li­tés à forte valeur
ajoutée.

Aujourd’hui, comment vous projetez-vous sur le marché ? Quelles sont vos perspectives de développement ?

Dst­ny a voca­tion à ren­for­cer son posi­tion­ne­ment sur son seg­ment de mar­ché, les PME et les ETI, sur lequel nous avons une réelle légi­ti­mi­té. Dans cette conti­nui­té, notre pre­mier axe de déve­lop­pe­ment est d’ordre géo­gra­phique. Aujourd’hui, notre acti­vi­té se concentre sur la région Auvergne-Rhône-Alpes où nous béné­fi­cions d’une cer­taine noto­rié­té et recon­nais­sance. En capi­ta­li­sant sur ce modèle qui a fait ses preuves, notre objec­tif est de le dupli­quer en région Île-de-France, puis dans la région Sud-Est dans les trois pro­chaines années.

“Dstny a vocation à renforcer son positionnement sur son segment de marché, les PME et les ETI, sur lequel nous avons une réelle légitimité.”

Notre second axe consiste à déve­lop­per notre acti­vi­té autour de la com­mu­ni­ca­tion uni­fiée, un seg­ment sur lequel Dst­ny peut appor­ter une réelle dif­fé­ren­cia­tion. En paral­lèle, nous res­tons en veille per­ma­nente pour iden­ti­fier les tech­no­lo­gies les plus pro­met­teuses, anti­ci­per les pro­chains usages et tendances.

Pour mener de front l’ensemble de ces chan­tiers, nous avons une impor­tante poli­tique d’investissement, notam­ment pour le déve­lop­pe­ment de pro­duits, et nous recru­tons mas­si­ve­ment. Actuel­le­ment en France, nous avons une qua­ran­taine de postes à pour­voir sur tous les métiers de l’entreprise : com­mer­cial, tech­nique, fonc­tion sup­port. Avis aux intéressés. 

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