La tête à l’envers
Dans ce roman, l’auteur mène de front deux sujets : science-fiction et roman d’amour.
Un jeune paléontologiste a acquis la conviction qu’il y a eu dans le lointain passé des hominiens qui avaient des pieds à la place des mains et des mains à la place des pieds ce qui les faisait marcher la tête à l’envers.
Il dirige des fouilles dans l’Est africain et finit par découvrir un squelette fossile confirmant son intuition.
On assiste alors à la lutte effrénée entre des personnes qui veulent s’emparer du squelette unique. L’épilogue est fait pour surprendre.
En même temps nous suivons les tribulations sentimentales du héros de l’histoire, ballotté entre plusieurs femmes très différentes. Mais l’Amour est toujours le plus fort.
Ancien pilote de ligne, l’auteur nous fait profiter de sa connaissance de l’Est africain, ce qui donne un parfum d’exotisme au récit.
Si le sujet est, évidemment, imaginaire, les scènes sont démarquées de scènes réellement vécues.