L’arrêt de l’activité professionnelle pour maladie et ses conséquences
Ce texte tente de répondre aux questions administratives et sociales relatives au régime général de la Sécurité sociale et au droit au travail que peuvent se poser les malades contraints d’arrêter leur activité professionnelle.
Quand doit-on adresser son arrêt de travail, et à qui, quel est le rôle de la Cotorep, que faire en cas d’inaptitude au travail, quel est le rôle du médecin du travail ?
Des questions essentielles, et bien d’autres encore sont abordées dans ce document.
Ce mémo social vous accompagnera dans vos démarches, pour ne pas passer à côté de vos droits, ni vous mettre en situation irrégulière.
1 – La maladie
Les formalités administratives
Adresser dans les quarante-huit heures les volets n° 1 et n° 2 de l’avis médical d’arrêt de travail à votre Caisse primaire d’assurance maladie, et le volet n° 3 à votre employeur (attention, certaines Conventions collectives peuvent prévoir un autre délai).
De même en cas de prolongation, le salarié est tenu d’aviser son employeur de l’évolution de son état de santé. Cette information peut être faite par écrit mais également oralement, sur le lieu de travail ou par téléphone.
Attention : soyez vigilant, conserver une preuve de la notification surtout en cas de relations tendues ou conflictuelles avec l’employeur.
L’omission ou le retard peuvent entraîner des sanctions disciplinaires, voire un licenciement pour cause réelle et sérieuse. La Caisse primaire peut aussi réduire le nombre d’indemnités journalières (IJ).
Les indemnités journalières (IJ)
Pour bénéficier des indemnités journalières, le salarié doit justifier :
- d’une durée minimale d’immatriculation (pour les arrêts supérieurs à six mois, douze mois au moins),
- avoir cotisé suffisamment au cours d’une période de référence,
- ou avoir travaillé un minimum d’heures au cours d’une période de référence.
Afin de déterminer ces droits, la Caisse primaire d’assurance maladie vous demandera de produire une attestation de votre employeur se rapportant aux paies des périodes de référence à retenir. Ce document sert à la fois à la détermination du montant de l’indemnité journalière et à la justification de l’arrêt de travail.
Les indemnités journalières peuvent être versées après un délai de carence de trois jours, pendant trois cent soixante jours.
Dès que la durée de l’arrêt de travail arrive à six mois, les règles (majorations et obligations du malade) relatives aux affections de longue durée (ALD), « longue maladie », doivent être appliquées.
Très souvent, le médecin-conseil de la Sécurité sociale, avant la fin des 360 indemnités journalières d’affection de longue durée, constatant l’incapacité permanente du malade, demande son passage en invalidité (voir paragraphe consacré à l’invalidité).
Le montant des indemnités journalières (IJ) depuis le 1er janvier 2003
Au cours des six premiers mois
- Indemnité journalière normale : 50 % du gain journalier de base dans la limite du plafond de la Sécurité sociale (29 184 euros par an au 1er janvier 2003).
- Maximum : 1⁄720 du montant du plafond de la Sécurité sociale soit 40,53 euros.
- Indemnité journalière majorée au-delà du 31e jour pour les assurés assumant la charge d’au moins trois enfants : 68,66 % du gain journalier de base dans la limite du plafond de la Sécurité sociale.
- Maximum : 1⁄540 du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale, soit 54,04 euros.
À partir du septième mois
- Indemnité journalière normale : 51,49 % du gain journalier de base dans la limite du plafond de la Sécurité sociale.
- Maximum : 1⁄700 du plafond annuel de la Sécurité sociale, soit 41,69 euros.
- Minimum : 1⁄365 du montant minimal annuel des pensions d’invalidité majoré de 1⁄3, soit 7,80 euros.
- Indemnité journalière majorée pour charge de famille, 68,66 % du gain journalier de base dans la limite du plafond de la Sécurité sociale.
- Maximum : 1⁄525 du montant annuel du plafond de la Sécurité sociale, soit 55,58 euros.
Les indemnités journalières versées pour des affections de longue durée (ALD) ou pour un arrêt supérieur à six mois sont non imposables.
Les obligations
Afin de continuer à percevoir les indemnités journalières le malade doit se soumettre à un examen médical spécial, effectué conjointement par le médecin traitant et le médecin de la Sécurité sociale.
Il doit se soumettre aux traitements prescrits, aux visites médicales et contrôles spéciaux organisés par la Caisse.
Le malade doit s’abstenir de toute activité non autorisée, et doit accomplir les exercices prescrits en vue de favoriser sa rééducation ou son reclassement professionnel.
L’avenant n° 8 à la Convention nationale des médecins généralistes, Journal Officiel du 1er février 2002, instaure une consultation approfondie pour les patients en ALD, exonérés du ticket modérateur.
L’objectif est de réaliser un bilan de l’ensemble des problèmes du malade, la coordination des soins, l’intervention d’autres professionnels.
Les heures de sorties autorisées : l’assuré doit se conformer aux prescriptions de soins et de repos, il peut donc faire l’objet de contrôle de sa Caisse primaire d’assurance maladie.
Le malade ne peut quitter son domicile que si son médecin le prescrit dans un but thérapeutique, en le mentionnant sur l’arrêt de travail.
Il est tenu de respecter les heures de sortie autorisées : entre 10 heures et 12 heures et entre 16 heures et 18 heures sauf si son médecin indique sur l’arrêt de travail « horaires libres ».
L’interdiction de travailler : pendant l’arrêt de travail, l’assuré malade ne doit se livrer à aucun travail, rémunéré ou non. Un assuré ayant effectué des travaux de jardinage s’est vu supprimer ses indemnités journalières, de même, celui qui avait réalisé des travaux de peinture dans la maison de ses parents.
Le maintien du salaire
L’employeur n’est pas tenu de maintenir le salaire.
Cependant, le plus souvent le salarié bénéficie d’une garantie de ressources.
Interrogez le service du personnel de votre entreprise pour connaître la Convention collective ou l’accord d’entreprise dont vous dépendez.
Certains employeurs adhèrent à un régime de prévoyance maladie, invalidité. N’oubliez pas de le faire jouer si votre salaire n’est pas maintenu.
En contrepartie du maintien du salaire, l’employeur a le droit de procéder à un contrôle médical de l’état de santé du salarié par un médecin choisi par l’employeur.
Cumul
Il est possible, sous certaines conditions, de cumuler les indemnités journalières avec :
- les pensions d’invalidité,
- les pensions de vieillesse,
- les indemnités de congés payés,
- les rentes d’accident du travail.
Le cumul est impossible avec les indemnités de chômage, les allocations de préretraite, les indemnités de repos de l’assurance maternité.
Prélèvements
Les indemnités journalières sont soumises :
- à la CSG (contribution sociale généralisée) au taux de 6,2 %,
- et à la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale) au taux de 0,5 %.
2 – L’inaptitude au poste et ses conséquences
Visite médicale de reprise du travail
Après une absence d’au moins vingt et un jours, le salarié doit se soumettre à une visite médicale lors de la reprise de son travail.
La fin de la suspension du contrat de travail ne dépend pas de la fin de l’arrêt de travail mais de la date de la visite de reprise effectuée par le médecin du travail.
Visite médicale de préreprise
À l’initiative du salarié, du médecin traitant ou du médecin-conseil, lorsqu’une modification de l’aptitude au travail est prévisible, un examen peut être sollicité avant la reprise pour faciliter la recherche des mesures nécessaires.
L’assuré peut être autorisé à reprendre une activité et à cumuler en partie son salaire avec des indemnités journalières dans le cadre d’un mi-temps thérapeutique (horaires aménageables pas obligatoirement à mi-temps). C’est votre médecin traitant qui doit prescrire cette reprise à mi-temps, le médecin-conseil de votre Caisse en apprécie les modalités.
Ce mi-temps thérapeutique ouvre droit à des indemnités journalières pour une durée maximale d’un an.
Ce qui peut porter à quatre ans la durée maximale d’indemnisation de la maladie (trois ans d’indemnités journalières affection de longue durée + un an de mi-temps thérapeutique).
Les différentes décisions du médecin du travail
- le salarié est apte,
- le salarié est apte « avec réserves », lorsque très peu d’aménagements du poste sont nécessaires,
- le salarié est inapte : une inaptitude au travail ne peut être constatée qu’après une étude du poste et des conditions de travail dans l’entreprise, et après deux examens médicaux espacés de deux semaines. Le médecin doit faire des propositions de reclassement.
La décision du médecin du travail ne peut pas être contestée.
L’obligation de reclassement
(article L‑122–24‑4 du Code du Travail)
L’employeur est tenu de proposer au salarié déclaré inapte à son poste un autre emploi.
L’employeur doit proposer au salarié, en accord avec le médecin du travail, un nouvel emploi approprié à ses capacités et aussi comparable que possible à l’emploi occupé précédemment.
Si le salarié refuse le poste proposé, l’employeur peut rechercher un autre reclassement ou procéder au licenciement du salarié.
L’impossibilité de reclassement peut être invoquée par l’employeur lorsque le médecin du travail a prononcé une inaptitude à tout emploi dans l’entreprise.
Si, dans le mois de l’examen de reprise du travail, le salarié n’est ni reclassé ni licencié, l’employeur est tenu de lui verser son salaire.
Ne démissionnez jamais et ne signez rien avant d’avoir consulté les personnes compétentes (service social, délégué du personnel, chef du personnel).
3 – La rupture du contrat de travail
Article L‑122–45 du Code du Travail :
« Aucun salarié ne peut être sanctionné ou licencié en raison de son état de santé ou de son handicap sauf inaptitude constatée par le médecin du travail. »
Si la maladie a pour seul effet de suspendre le contrat de travail, elle peut cependant générer sa rupture dans trois cas :
- si le salarié méconnaît les obligations qui lui incombent (voir ci-dessus),
- si son absence entraîne une perturbation dans le fonctionnement de l’entreprise,
- ou si le salarié est déclaré inapte à occuper son poste de travail par le médecin du travail.
Lorsque le reclassement du salarié se révèle impossible, l’inaptitude pourra être considérée comme cause réelle et sérieuse de licenciement.
L’employeur doit respecter la procédure de licenciement :
- entretien préalable, lettre de licenciement mentionnant les motifs de la rupture du contrat de travail (soit pour inaptitude et impossibilité de reclassement, soit pour absence entravant le bon fonctionnement d’entreprise), indemnité légale ou conventionnelle.
En revanche, le salarié n’étant pas en mesure d’effectuer son préavis, l’indemnité compensatrice de préavis ne lui est pas due.
Le salarié licencié peut être indemnisé par les Assedic, s’il est apte physiquement à exercer une activité et s’il remplit les conditions d’ouverture de droit.
Code du Travail article L‑311–5 :
« Les salariés privés d’emploi doivent être physiquement aptes à en exercer un pour prétendre au bénéfice des allocations de chômage. Cette condition est présumée remplie lorsque ledit salarié est inscrit sur la liste des demandeurs d’emploi. » (Voir le cas des personnes en invalidité.)
4 – Le rôle de la Cotorep
Dans chaque département existe une « Commission technique d’orientation et de reclassement professionnel » (Cotorep).
Celle-ci est composée de deux sections :
-
la 1re section se prononce sur :
– la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé, catégorie A, B ou C,
– l’orientation professionnelle du travailleur handicapé vers un emploi, un stage de réadaptation, de rééducation ou de formation professionnelle. - la 2e section décide de l’attribution de l’allocation adulte handicapé (AAH), de l’allocation compensatrice pour tierce personne, de l’allocation logement, de la carte d’invalidité ainsi que du macaron GIC.
Elle peut aussi orienter la personne vers un établissement spécialisé.
Être reconnu travailleur handicapé : pour quoi faire ?
Pour avoir accès à l’ensemble des mesures d’aide à l’emploi, et éventuellement des aides financières. La qualité de travailleur handicapé n’entraîne pas l’attribution d’une allocation. Seul le taux d’incapacité déterminé par la Cotorep le permet si les conditions de ressources sont réunies. Ce taux d’incapacité est à distinguer du taux d’invalidité reconnu par les Caisses d’assurance maladie pour l’attribution d’une pension d’invalidité.
Depuis 1987 (Loi n° 87–517), toute entreprise privée occupant au moins 20 salariés est tenue d’employer à temps plein ou temps partiel 6 % de travailleurs handicapés. Les bénéficiaires de cette obligation sont les travailleurs reconnus handicapés par la Cotorep, les victimes d’accidents du travail ou de maladie professionnelle, les titulaires d’une pension d’invalidité d’un régime de Sécurité sociale, les anciens militaires titulaires d’une pension d’invalidité, les veuves et orphelins de guerre, les sapeurs-pompiers volontaires blessés dans l’exercice de leurs fonctions.
L’AGEFIPH, Association pour la gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées, collecte les contributions des entreprises qui n’atteignent pas le quota d’emploi de 6 %, et redistribue ces fonds aux actions favorisant l’embauche, le maintien dans l’emploi et la formation professionnelle.
Plusieurs organismes et associations œuvrent pour l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés, par exemple, OHÉ PROMÉTHÉE, réseau national, téléphone : 01.53.38.84.04 ; HANDIPASS ; les EPSR (équipes de préparation et de suite du reclassement).
À noter un numéro de téléphone pour l’emploi des handicapés : 08.03.03.40.00 reçoit des propositions d’emploi, dispense des informations et des conseils.
5 – L’invalidité
Attention : inaptitude et invalidité ne sont pas synonymes, même si ces deux notions coïncident parfois. Elles sont appréciées avec deux logiques différentes et par deux autorités différentes :
- l’inaptitude est prononcée par le médecin du travail, elle s’apprécie par rapport à l’emploi concret occupé ;
-
l’invalidité est prononcée par le médecin-conseil de la Caisse primaire d’assurance maladie. L’état d’invalidité est constaté lorsqu’il réduit au moins de deux tiers la capacité de travail ou de gain de l’assuré.
L’appréciation de la perte de capacité se fait de façon globale, par rapport à l’ensemble des possibilités d’emploi existant pour l’intéressé. La constatation de l’invalidité peut être faite avant la fin de l’indemnisation en longue maladie si l’état de santé est stabilisé.
La personne dont l’invalidité est reconnue est classée dans l’une des trois catégories suivantes :
- 1re catégorie : invalide capable d’exercer une activité professionnelle,
- 2e catégorie : invalide incapable d’exercer une activité professionnelle,
- 3e catégorie : invalide incapable de travailler et qui nécessite l’assistance d’une tierce personne pour effectuer les actes de la vie quotidienne.
Le salarié classé en invalidité doit continuer à fournir des arrêts de travail.
Les conditions d’obtention d’une pension d’invalidité
Il faut avoir moins de 60 ans, avoir été immatriculé au moins douze mois et justifier d’un montant minimum de cotisations ou d’un nombre minimum d’heures de travail.
Cette pension est temporaire, elle peut être réduite, suspendue ou supprimée.
Un questionnaire relatif aux revenus perçus est adressé trimestriellement.
La Caisse primaire peut, à tout moment, provoquer une expertise médicale.
Dès l’âge de 60 ans, la pension est remplacée par une pension de vieillesse pour inaptitude au travail.
Le montant au 1er janvier 2003
Le calcul est fait sur le salaire annuel moyen correspondant aux cotisations versées, dans la limite du plafond, au cours des dix meilleures années civiles d’assurance.
Le salaire pris en compte pour le calcul de la pension est celui qui correspond à la tranche A des salaires limitée au plafond de la Sécurité sociale, soit 29 184 euros par an.
La pension d’invalidité ne peut être inférieure à un minimum égal au montant de l’allocation aux vieux travailleurs, soit 2 849,76 euros par an.
Elle ne peut être supérieure, suivant la catégorie, à 30 % (1re catégorie) ou à 50 % (2e et 3e catégories) du salaire plafond servant de base au calcul des cotisations d’assurance sociale soit : 8 755,20 euros ou 14 592 euros par an.
Les personnes classées en troisième catégorie bénéficient de la majoration pour tierce personne : majoration de 40 % avec un minimum de 11 160,72 euros par an.
Les titulaires d’une pension d’invalidité dont les revenus sont inférieurs au minimum vieillesse (7102,71 euros par an pour une personne seule), peuvent recevoir en complément une allocation supplémentaire du Fonds spécial d’invalidité (FSI).
Pensez à solliciter le régime de prévoyance souscrit éventuellement par votre employeur.
Pensez aussi aux assurances souscrites pour les crédits immobiliers ou divers emprunts.
Suspension de la pension d’invalidité
La pension peut être suspendue en tout ou partie en cas de reprise du travail, compte tenu du salaire de l’intéressé.
La majoration pour tierce personne est destinée à faire face aux dépenses supplémentaires entraînées par l’invalidité.
Elle est maintenue aussi longtemps que nécessaire, même à l’issue d’un stage de rééducation ou d’une amélioration de l’état de santé qui permet à l’intéressé de reprendre une activité rémunérée.
Contrairement aux indemnités journalières versées pour les affections de longue durée, la pension d’invalidité est imposable.
Prélèvement CSG et CRDS
CSG : La pension d’invalidité est soumise au taux de 6,2 % si vous êtes imposable sur le revenu, 3,8 % si vous n’êtes pas imposable sur le revenu mais au titre de la taxe d’habitation, vous êtes exonéré de CSG si vous n’êtes redevable ni de l’impôt sur le revenu ni de la taxe d’habitation.
CRDS : La pension d’invalidité y est soumise au taux de 0,5 %.
Depuis le 1er janvier 2003, vous en êtes exonéré si votre revenu fiscal de référence 2001 est inférieur à 6 928 euros, majoré de 1 851 euros par demi-part du quotient familial.
Ces contributions ne sont pas prélevées si votre pension est complétée par l’allocation supplémentaire du Fonds social d’invalidité, ou si vous ne résidez pas fiscalement en France.
Cumul
L’allocation aux adultes handicapés (AAH) peut s’ajouter à la pension. Le total des deux ne doit pas dépasser le montant de l’AAH.
Inscription à l’ANPE
Les personnes invalides de 2e et 3e catégories ne peuvent être inscrites sur la liste des demandeurs d’emploi pendant la durée de leur incapacité.
Cependant, deux cas doivent être distingués :
- lorsque la pension a été liquidée avant le début du dernier contrat de travail ou pendant celui-ci, l’intéressé est réputé apte au travail et peut être inscrit sur la liste des demandeurs d’emploi,
- lorsque la pension a été liquidée après son dernier contrat de travail, le directeur de l’ANPE doit demander l’avis du médecin de la main-d’œuvre et du travail afin de vérifier l’aptitude au travail de la personne. Si le médecin conclut à une incapacité de travail, l’inscription sur la liste des demandeurs d’emploi est refusée. Si la capacité à avoir une activité est reconnue, la demande d’inscription est acceptée et prend effet à la date de la première démarche de l’intéressé.
Pour toutes précisions contacter
Sophie BARRÉ, assistante sociale,
sur rendez-vous au 01.56.81.11.16,
permanences à l’AX le lundi et le mercredi matin.