Se développer aux Etats-Unis
Une PME française souhaitant se développer sur le marché américain peut à la fois trouver des sources de financement en France et aux États-Unis, auprès d’acteurs privés et publics. Les financements publics sont souvent un très bon moyen de préparer l’entreprise à moindre coût pour son entrée sur le marché américain et faciliter ainsi l’appel à fonds privés.
De par sa taille, ses ressources humaines et financières, et son goût pour l’innovation et l’aventure entrepreneuriale, le marché américain reste un espace primordial pour le développement des PME innovantes, et cela reste encore vrai dans un contexte économique difficile. C’est un marché très dynamique et excitant, mais qui peut s’avérer complexe, et demande de l’énergie ainsi que d’importantes ressources financières.
REPÈRES
En France, le gouvernement est un interlocuteur pertinent pour le financement des PME à l’international. Il agit au travers d’entités comme Oseo, établissement public spécialisé dans le soutien à l’innovation et à la croissance des PME, ou la Coface, agence destinée à assurer en priorité les risques liés à l’exportation des entreprises françaises pour le compte de l’État.
L’accompagnement des PME innovantes à l’international est au cœur de la réforme du dispositif public d’aide à l’export. C’est pourquoi ces acteurs renforcent leurs liens au bénéfice des entreprises afin d’offrir de nouveaux outils de financement et de garanties à l’export (avances remboursables, prêts à taux préférentiels, crédit d’impôt, assurance prospection et autres).
Le réel développement passe par le biais de solutions d’investissements locales
Ainsi Oseo a mis en place des outils de subventions directes pour faciliter la participation des PME à des projets collaboratifs de R & D ou d’innovation entre partenaires internationaux. Ce système » d’argent gratuit » plafonné à 50 000 euros se traduit par la réalisation d’une étude de faisabilité permettant aux entreprises technologiques innovantes de valider leur produit sur le marché américain tout en amorçant l’évangélisation de la technologie auprès de décideurs clés.
La Coface, de son côté, peut avancer jusqu’à 65 % du budget nécessaire à une PME française pour développer ses ventes à l’international – 80 % dans le cas où l’entreprise est reconnue comme étant innovante. Le remboursement s’effectue annuellement au prorata des recettes d’exportations enregistrées par l’assuré dans la zone prospectée.
Le projet américain
La source de financement la plus immédiate pour amorcer le développement transatlantique reste encore les finances propres de l’entreprise française, ou celles de ses actionnaires historiques. L’entreprise peut ainsi réserver une partie de son tour de table à son projet américain. La parité eurodollars rend particulièrement intéressante ces solutions de financement mais le réel développement de la filiale passe sans conteste par le biais de solutions d’investissements locales.
Des subventions spécifiques
Il existe d’autres subventions plus spécifiques : par exemple, dans le domaine des technologies médicales, le NIH (National Institute of Health) attribue des bourses en flux continu, tout comme de nombreuses fondations. Enfin, des programmes de développement économique régionaux investissent directement dans des entreprises innovantes à fort potentiel.
À la recherche des grants
Le sol américain est lui aussi fertile en subventions (grants). Les PME innovantes ou de haute technologie sont largement favorisées dans leur attribution, notamment au travers de programmes tels que le SBIR (Small Business Innovation Research) ou le STTR (Small Business Technology Transfer).
Des partenaires locaux
Long et difficile
Les sources américaines de subventions ne permettent de récupérer que quelques centaines de milliers de dollars et les processus de sélection peuvent s’avérer longs (de quelques mois à un an) et très compétitifs (en moyenne 15 % de réussite).
L’octroi de ces subventions est réservé aux entreprises de droit américain (plus de 50 % du capital doit être détenu par des actionnaires américains), mais la PME française peut demander à ses partenaires locaux de faire acte de candidature à sa place : ainsi le département radiologique d’un hôpital intéressé par l’acquisition d’un nouveau scanner produit par une PME française peut contacter directement les différentes sources de subventions pour financer l’adaptation du produit français dans son environnement américain. L’entreprise peut aussi rétrocéder 50 % des parts de sa filiale américaine à un partenaire local (si et seulement s’il s’avère que cela soit aligné avec ses intérêts).
S’intégrer à la communauté d’affaires
Les sources de financement privées américaines restent donc le plus important levier au développement de l’entreprise à grande échelle sur le territoire nord-américain. Pour cela il est impératif que l’entreprise française soit profondément intégrée à la communauté d’affaires américaine, et mette à profit le carnet d’adresses de business angels ou » capital-risqueurs » locaux pour le recrutement local ou l’identification et l’introduction auprès de clients ou de distributeurs.
À noter cependant que le capital-risque n’est que la partie visible de l’iceberg et que de nombreuses autres options de financement existent sur le marché américain, qui ne peuvent être détaillées ici, mais qui permettent de lever des capitaux importants y compris dans le contexte actuel.
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DEMANDE D’AIDE ET DE MISE EN RELATIONS AVEC LES PERSONNESADEQUAT
Objet : Recherche d’un réseau de distribution d’articles de mode (toutes, car je vends ma marque aussi bien dans des magasins de styles sport/sportswear, urban, outdoor, streetwear et PAP Féminin, car « Airmaster » se veut être un « lifestyle » avant tout) voir de cosmétiques (parfums + déodorants) au CANADA‑U.S.A./International :
Concernant mon concept de marque innovant Airmaster en textiles et de chaussures, projet très marketing avec le financement adéquat ou sous la forme d’un contrat de licence d’exploitation, pour un projet à très forte valeur ajoutée pour le distributeur…
(Avec une rémunération très forte, mais exclusivement, su le C.A. obtenu, donc mensuellement ou trimestriellement sur toutes les années du contrat, dans le cadre dans partenariat en contrat de « licensing »)
Monsieur l” expert en commerce, distribution/licensing aux USA/International,
J’ai déposé ma marque/concept, en France/Europe, USA et sur une bonne partie de l’Asie (dont la Chine)…, et à tout hazard car vous semblez être un Homme d’expérience (source contact : http://www.linkedin.com/in/djameltoubrinet) et de réseaux, notamment en DISTRUBION/« LICENSING » :
Je suis Claude Poulard, je suis ex-enseignant, entrepreneur Français/fondateur du projet « Airmaster » (en Français : le « Maître des Airs »). Je vous contact concernant la distribution de mon concept dans tout l’Occident, comme en Orient-Asie, avec deux possibilités selon votre convenance :
– un contrat de licence d’exploitation (même avec un Royalties PLUS QUE SYMBOLIQUE pour mon entreprise (au lieu des 16% habituel du secteur, mais le plus rapidement possible).
– un réseau de distribution, avec le financement ou investisseur adéquat.
Parce que j’ai conçu mon projet à la hauteur de mon Ambition, volontairement sur un thème où je n’ai aucune concurrence directe au niveau mondial, aussi bien pour les personnes d’origines Occidentale, Orientale et Asiatique.
L’objectif de mon concept « Airmaster » est de révolutionner d” où mon expression et le nom de mon site web : « Airmaster New », que l’on peut traduire comme : « Concepteur d’un nouvel Air… ») le design, comme la mode pour ne pas être qu’une marque parmi tant d’autres :
« Airmaster » veut être synonyme de l” »Air dragon », donc d’un état d’esprit…
Mon emblème est un logo marketing, qui génère les valeurs identidaires, comme :
- la force, l’invulnérabilité, mythe & légende, la puissance, le pouvoir, la rébellion, le rêve, l’aspect sportif/athlétique, etc…
Mon logo se veut être le symbole des traditions, des cultures du thème mytique du dragon qui fait « toujours rêver, notamment par son mystère » et pas seulement pour la totalité des Arts Martiaux, en somme c’est un « LIFESTYLE »…
Mon projet fonctionne très bien de « A à Z » mais à petite échelle car je me suis improvisé également distributeur, d’où mon contact :
Je m’occupe de toutes les étapes suivantes :
- Je suis le styliste/créateur et designer autodidacte.
– Je fais de l’import/export de mes produits par le biais de nombreux partenaires en sourcings en Amérique centrale, Asie, Afrique du Nord et France, selon les clients et les produits.
– Je commercialise mon concept/produits fait par et pour les jeunes et très jeunes, avec réapprovisionnement très régulier sur toute la « French Riviera » et une bonne partie de la méditerranée Française, de styles sportswear, urban, outdoor, streetwear et même en PAP Féminin, ce qui démontre que mon concept est adaptable ou « passe partout »…
Mon projet a une vocation internationale, donc je vous laisse le choix du marché et du distributeur si vous pensez pouvoir le commercialiser. Car le savoir-faire Français en termes de mode et également de design sont reconnu aux quatre coins du monde…
Voilà où j’en suis, donc dans la phase finale, celle d’une distribution massive d” »Airmaster » :
Je recherche une commercialisation massive de mon concept/produits, si possible sous la forme d” un contrat en licence d’exploitation.
Monsieur l” expert en commerce, distribution/licensing, aux USA/International avec le partenaire adéquat, à votre entière disposition pour cet objectif.
Bien cordialement,
Claude Poulard
+33 (0)6 77 22 26 01 (joignable 7/7 pour un tel projet)
Airdragon@Airmasternew.com
http://WWW.AIRMASTERNEW.COM (en 7 langues)
http://airmasterdragon.wix.com/airmasterdragon
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PS : Pour information, voici ci-joint les débuts du numéro1 Français en sport/sportswear (source « Capital sur M6 ») : http://www.dailymotion.com/video/x227uh_malamine-kone-airness‑1–2_news :
Avec plusieurs centaines de millions de CA/An (avec 13 licences) en 2011. En sachant que je suis réellement la seule marque au niveau mondial sur le marché de la Mode et du Design, avec comme emblème le « Dragon »…
VOUS AVEZ CARTE BLANCHE, POUR LE BOUCHE A OREILLE DE MON CONCEPT…