Témoignages
Un centenaire qui se porte bien
Les premiers documents historiques, soigneusement transmis de trésorier à trésorier, remontent à novembre 1913. Un précieux cahier d’écolier, à la couverture cartonnée avec une étiquette » Groupe toulousain X – Cahier de Recettes et Dépenses « , couvre la période 1913–1953. Le GTX est probablement plus ancien, puisque le premier cahier commence par » 1er décembre 1913 – En caisse, reçu du Cdt… 242,00 « .
Deux autres cahiers suivent jusqu’en 1997 où l’informatique a pris le dessus, puis création d’un site en 2002 http://gtx.polytechnique.org/ notamment grâce au support de l’Association polytechnique.org.
Sur le site a été commencée une exploitation historique et humoristique des archives, sous le nom de » GTX connection » http://gtx.polytechnique.org/gtxconnection/
Michel Dorrer
Sainte-Barbe à la Sainte-Barbe
La Sainte-Barbe 2009 a eu lieu le vendredi 4 décembre 2009. Le Bureau a réussi la performance qu’elle tombe exactement le jour de la Sainte-Barbe !
Elle a eu lieu à Toulouse intra-muros, au restaurant La Cendrée.Nous étions finalement 72 après l’arrivée des derniers retardataires. Nous avons eu le plaisir de compter huit nouveaux.
Les promos s’échelonnaient ainsi de la 43, notre doyen de séance Maurice Besnard, à la 2004, avec Florence Louis et Romain Nicolas.
Michel Dorrer
La femme toujours fatale
Très forte affluence pour cette conférence sur la femme fatale au xixe siècle, avec près de 50 participants GTX, dont une majorité féminine inhabituelle dans nos dîners-conférences. Notre conférencière, Mireille Dottin-Orsini, nous a promenés pendant une petite heure dans les fantasmes masculins de la Femme fatale, représentés par les peintres dits » pompiers » de la fin du xixe siècle, avec moult détails. On entendait d’ailleurs au fond de la salle certains retardataires se demandant avec regret combien de superbes peintures ils avaient ratées. Attention, la femme fatale – même si elle est beaucoup moins présente – continue à exister à l’époque actuelle !
Emmanuel Ajdari
Soirée chocolat
18 participants à la visite de la chocolaterie Criollo, à Saint-Pierre-de-Lages. Criollo n’est pas le nom du patron, mais la plus estimée parmi différentes espèces de cacaoyer. Le chocolatier, un expert, nous a beaucoup appris sur l’histoire du chocolat avant de nous faire déguster quelques variétés » appellation d’origine contrôlée « , où, comme dans les grands crus, les spécialistes ont cru reconnaître des notes florales, de la noisette, etc.
Michel Dorrer
Un demi-siècle en raquettes
Nous étions finalement trente-quatre. Mais cette affluence n’a posé aucun problème car le parcours était sans aucun risque ; il n’y avait pas d’encadrement technique à assurer.
Mélange de générations, on comptait, de la promo 1952 à la 2002 : un demi-siècle d’écart.
Le temps assez riant au départ nous a un peu trahis sur la fin : retour des nuages lorsque nous avons atteint la crête nous privant du panorama escompté.
Les deux luges emportées ont bien rempli leur rôle, et servi à la fois d’aiguillon et de défoulement pour les enfants. Les plus grands n’ont pas manqué de faire une gigabataille de boules-de-neige, y compris une tentative de tir sur l’organisateur (votre serviteur).
Philippe Chenevier
Sortie canyoning
Le schéma est maintenant bien rodé : départ en fin d’après-midi du vendredi pour arriver dans une auberge entre 21 heures et 23 heures à Arcusa. Hébergement dans trois chambres et deux dortoirs.
Le samedi, canyoning pour certains (16 adultes et un grand enfant), promenade en montagne pour les autres, notamment les deux petites familles et maman et bébé Berdoulat. Les deux équipes se rejoignent à la sortie du canyon pour fêter nos valeureux aventuriers et partager les pique-niques, avec quelques surprises dues à des bidons non étanches qui se sont remplis pendant le parcours dans l’eau.
Merci à Charles Pujos (81) dont l’expertise a permis cette aventure.
Philippe Chenevier
Visite de l’usine d’assemblage de l’A-380
Avec notre guide-conférencier Patrick Téjedor, nous avons visité l’usine Lagardère, principalement la chaîne d’assemblage des A‑380 ; les trois tronçons du fuselage, les ailes, la dérive, l’empennage.
Tout est gigantesque, à la mesure de l’avion qui fait plus de 550 tonnes au décollage, près de 80 mètres d’envergure, 73 de long… Sa hauteur de 24 mètres est celle d’un immeuble de 9 étages ! À terme, un A‑380 sera produit par semaine.
Nous nous sommes rendus à la halle de Lévignac pour voir passer le convoi : deux nuits et demie de Langon à Cornebarrieu via Eauze et L’Isle-Jourdain ; ce soir-là il y avait quatre camions, avec leur remorque à géométrie variable (afin de pouvoir rentrer par l’autoroute) pour transporter un empennage et un fuselage.